Au début, parce que l’on n’a pas vraiment de choix à faire : on va tous en maternelle, puis à l’école primaire et au collège. Puis j’ai choisi les voies qui me fermaient le moins de portes possible.
J’ai choisi d’aller en première Scientifique, parce que mes professeurs m’ont assuré que quoi que je choisisse ensuite, je ne serais pas bloqué. Puis j’ai fait un bachelor et enfin un master en école de commerce.
Pendant tout ce parcours scolaire, ma seule préoccupation, c’était que mes horizons restent toujours possibles et ouverts. Au cas où je voudrais changer de voie, au cas où je ne me plaise pas dans la carrière que je commence.
Tout ce qui importait, c’était d’avoir des échappatoires, de ne pas rester bloqué et d’éviter au maximum de possibles souffrances. Mais au fond de moi, je savais qu’un jour je serais forcément confronté à ce que je redoutais le plus.
Choisir ce que je voulais vraiment faire de ma vie professionnelle. Et le plus simple des choix, ça restait de ne rien choisir. Car choisir, c’est décidé. Et décidé, c’est forcément renoncer à des possibles.
Alors, j’ai tout fait pour ne pas avoir à y penser tout de suite. Je noyais le poisson dans l’eau en passant de longues nuits à jouer à League of Legends ou dans des soirées beaucoup trop arrosées.
Je fuyais l’inévitable. Et quand les pensées me rattrapaient, je faisais tout pour me dire que j’avais un bon parcours scolaire et que normalement je ne devrais pas trop souffrir en entreprise. Puis un jour, j’ai dû faire face à la réalité.
Pendant mon master en école de commerce, j’ai fait une année de césure. J’ai fait 2 stages dans des boîtes de communication et de marketing. Et ça a été comme une grande claque dans la gueule.
J’ai vu et j’ai vécu ce qui m’attendait si je ne commençais pas à faire mes propres choix. J’ai vu ce que je devrais subir pour les prochaines 40 années de ma vie si je ne faisais pas tout pour m’enfuir.
Je me souviens que la première chose que je faisais tous les matins en arrivant au boulot, c’était aller aux chiottes, y rester 15 bonnes minutes en regardant quand étaient les prochains jours fériés sur le calendrier de mon téléphone.
Quand j’y repense, je n’étais simplement pas motivé par ce qui m’était proposé. Je bossais enfermer dans un petit bureau austère. Devant moi défilait des tableaux Excel et des informations pour le projet d’une boite qui ne m’inspirait pas du tout.
Pendant le répit des pauses, c’était à qui se plaindrait le plus. Et mon manager m’apprenait de nouvelles phrases : « on est sous l’eau en ce moment », « il va falloir mettre les bouchées doubles », « on débriefera ça en réunion ».
Mais le pire dans tout ça, c’est que c’était supportable. J’aurai pu accepter de vivre cette réalité 5 jours par semaine. 47 semaines par an. J’aurai pu faire ça pendant 10 ans, 20 ans, 30 ans.
Et si j’avais continué une fois de plus à ne pas prendre de décisions. J’aurai fini dans ce petit bureau.
Un soir en rentrant de ce stage, j’ai découvert dans un livre, le concept des 3 centres de l’ennéagramme.
Les centres correspondent aux différents types de personnalités qui peuvent exister. Le concept veut que l’on ait tous un centre plus développé que les autres.
- Il y a le centre émotionnel qui est lié au cœur.
- Le centre instinctif, les tripes
- Et le centre mental, le cerveau. Et en y réfléchissant bien, je me suis dit qu’il y avait aussi 3 grandes motivations pour sa vie professionnelle.
– Le Social qui est lié au cœur (les personnes avec qui tu travailles et l’ambiance au taf)
– Le Projet, ce que tu ressens dans tes tripes (càd le sens de ce que tu fais et ce que ça apporte au monde) – Et enfin l’argent, qui est lié à la logique du cerveau, car à la base, on travaille tous pour une rémunération. Et je pense que chaque personne à 1 de ces 3 besoins plus présents que les autres.
Par exemple, j’ai de nombreux anciens collègues d’école de commerce qui ont choisi de travailler dans la finance. Pour eux, leur besoin premier, c’est l’argent. Et si ce besoin est comblé, alors ils acceptent que les 2 autres besoins ne le soient pas.
Ils acceptent de travailler avec des gens qu’ils détestent et sans réel projet. La rémunération est une récompense suffisante pour eux. Lors d’un stage, j’ai travaillé avec une fille qui avait un sourire incroyable et une joie de vivre hors du commun.
Elle aimait profondément les gens et le plus important pour elle, c’était le fait de faire partie d’un groupe et l’ambiance au bureau. Si elle partait quelques jours en vacances, elle revenait en nous disant qu’on lui avait énormément manqué.
Elle était simplement heureuse de venir au travail chaque matin. Bien plus que si elle restait seule chez elle. Même si le projet de la boite n’était pas fascinant et que la rémunération était plutôt basse … son besoin social était comblé.
Et c’était le plus important pour elle. Mon classement à moi entre les 3 besoins, c’est celui-là :
– Projet
– Ambiance
– Argent
Et pourtant, je te le dis tout de suite, j’adore les thunes. Mais c’est simplement que les deux autres besoins sont encore plus essentiels pour moi.
Ce que je fais et pourquoi je le fais reste la plus grande des motivations. On sait tous quand un projet nous anime, on le sent dans nos tripes. Ce projet, il doit avoir du sens pour toi : peut-être que ça doit aider des gens, ou être lié à une de tes passions.
Le but des 3 besoins, c’est de déterminer celui qui prend le plus d’importance et de commencer à combler ce besoin essentiel. Sans jugements, aucun. Il n’y a pas de bons ou de mauvais classement.
Il y a ton classement. Si je devais travailler en finance avec des gens que je déteste et un projet inexistant, ce ne serait qu’une question de semaines avant que je devienne l’ombre de moi-même et que je sombre dans une profonde dépression.
Bien sûr, ces 3 besoins sont appelés des besoins car ils sont importants pour tout le monde. Et même s’il faut se concentrer sur son besoin essentiel au tout début, le but est quand même de les développer les 3 pour être pleinement épanoui.
Mais il existe un 4e besoin souvent oublié et pourtant indispensable pour certaines personnes. Le besoin de liberté. Au boulot, je travaillais 60h par semaine. Oui, tu as bien entendu. 60h par semaine.
Je travaillais du lundi au vendredi 8h par jour. C’est-à-dire de 9h à 18h avec 1h de pause pour le déjeuner. Ça fait 40h par semaine. À cela il faut ajouter les 1h de trajet tous les matins et 1h tous les soirs.
Ça fait 2h par jour et donc 10h par semaine. On ajoute aussi les 2h de Netflix ou autres divertissements qu’il me fallait pour déstresser de mon job tous les jours. Ce qui fait 10h de plus. Au final, mon travail me prenait 60h de ma vie par semaine.
Et si tu es dans le même cas, il ne te reste plus beaucoup de temps pour faire ce que tu veux vraiment faire : travailler sur tes projets persos, passer du temps à faire des choses qui t’intéresses vraiment, qui te passionnent et qui t’épanouisse.
Quand tu y penses, tu arrives chez toi et il est 19h passé … voire 20h les soirs ou tu as dû rester un peu plus longtemps au boulot. La première chose dont tu as besoin, c’est décompresser devant une série.
Et demain matin, le même manège recommencera … Tu ne peux donc pas te coucher à 3h du mat si tu veux arriver à l’heure au travail. Et puis surtout, le temps de sommeil reste indispensable et il faut bien que tu dormes au moins 6 ou 7h par nuit pour ne pas être un zombie.
Alors, quand est-ce que tu peux vraiment faire ce que tu veux de ta vie ? Le week-end ? Parlons-en. La plupart du temps le week-end, tu en profites pour vivre un peu et ne plus penser au boulot. Peut-être que tu vas sortir le samedi soir avec tes amis pour aller danser ou boire des coups … parce que tu ne pouvais pas le faire en semaine.
Mais on connait tout ça, après ta folle soirée, tu émergeras le dimanche à 13h au mieux et l’après-midi, tu le passeras à te dire que chaque seconde qui passe te rapproche petit à petit du lundi matin.
Et le plus dur dans tout ça, c’est que le cauchemar ne dure pas qu’une semaine. Mais se répète toutes les semaines, et tous les mois et puis toutes les années. Pour moi, c’était pire que d’être bloqué dans la matrice.
Ce schéma que la société nous propose, c’est tout ce que je voulais absolument éviter. C’était une sorte de prison dans laquelle j’aurais tout fait pour ne pas y rester bloqué trop longtemps.
J’y avais été confronté pendant 1 an et je savais que c’était tout sauf ce que je voulais vraiment faire de ma vie. Chercher des solutions, alors j’ai cherché des solutions. J’ai tout fait pour découvrir des voies parallèles : je me suis intéressé au MLM, à la bourse, à l’immobilier, bref tout ce qui pouvait exister pour gagner sa vie autrement.
J’ai commencé à lire des bouquins de développement personnel et d’indépendance financière. Et je voyais bien que j’étais un peu à part. Dans mon groupe d’amis, personne ne s’intéressait à ces sujets et ne lisait ce genre de livre.
Pareil pour ma famille et mes proches. Un jour, alors que je me promenais dans le parc Jourdan à Aix en Provence, j’ai vu un gars de mon âge qui lisait ce bouquin : La magie de voir grand. C’était un livre que je venais tout juste de finir et j’étais étonné de voir une autre personne s’intéressait aux mêmes choses que moi.
Je me rappelle avoir eu un peu peur d’aller lui parler et d’avoir réfléchi de longues secondes. Puis, j’ai pris mon courage à deux mains et je suis allé le voir. Cette discussion que j’ai eu avec ce parfait inconnu a changé ma vie de cap.
On a discuté une bonne heure, il m’a parlé de son business et de comment il pouvait vivre de son activité en indépendant à 21 ans. Et surtout, il m’a fait découvrir une voie que je n’avais pas pensé à explorer.
Développer sa propre communauté. Pour moi, on ne pouvait vivre de ça que si un énorme groupe de personnes nous suivait (au moins 1 Million). Mais lui arrivait à en vivre avec seulement 1000 personnes à qui il vendait ses services.
Avant de se quitter, il m’a recommandé de m’intéressais à cet article : La théorie des 1000 vrais fans de Kevin Kelly. En rentrant chez moi, je me suis rué sur mon ordinateur pour lire l’article.
La théorie veut que si tu veux vivre de ton contenu, il te faut 1000 vrais fans. Et cela, que tu sois photographe, artiste, peintre, musicien, entrepreneur, créateur de contenus en tout genre ou vidéaste.
L’idée est de te lancer dans un petit marché qui n’aura pas beaucoup de concurrence et de trouver 1000 vrais fans. Le calcul est simple. Imagine que tu arrives à vendre 100€ de tes créations à 1000 fans, alors ça te fait un revenu de 100.000€ par an.
Et aujourd’hui, on a tous un avantage compétitif sur les précédentes générations d’entrepreneurs. Un avantage qui nous permet de nous connecter plus facilement avec les gens qui nous ressemble et de potentiellement toucher la planète entière … Internet.
Si aujourd’hui, tu rêves de vivre d’une de tes passions et de partager cette passion avec d’autres personnes, il n’y a jamais eu de meilleur moment pour commencer. C’est donc un des choix les plus importants que j’ai pris dans ma vie.
J’ai fait le choix de créer du contenu pour partager au monde ce que j’aimais vraiment au lieu de rester dans la peur et de prendre des choix seulement pour essayer d’éviter de souffrir. J’ai décidé de démarrer ma chaîne YouTube, de partager mes idées sur le dev perso, les relations sociales et l’atteinte d’objectifs et développer ma propre communauté.
Qu’est-ce que j’étais soulagé. Ça y est, j’avais enfin trouvé un plan professionnel qui me convenait parfaitement. Qui avait le potentiel de combler mes 4 besoins. Alors j’ai créé ma première vidéo.
Et je m’en souviens comme si c’était hier. J’étais super excité à l’idée de la faire. Je l’ai écrite, je l’ai tourné, je l’ai publié sur YouTube et … PLAN où l’on voit le compteur de vues de la vidéo à -> 30 VUES. J’ai donc créé une seconde vidéo, suivi d’une 3e bientôt suivi par d’autres.
Et le constat restait le même. Au bout de 20 vidéos publiés sur la chaîne et très peu d’abonnés … J’étais franchement sur le point d’abandonner.
AVANCE RAPIDE. Petite avance dans le temps.
Aujourd’hui, début 2020, ma chaîne comptabilise plus de 150.000 abonnés et j’ai accumulé quasiment 6 millions de vues. Chaque mois, je gagne en automatique de 6000 à 10.000 nouveaux abonnés.
Pourtant, je n’ai rien fait comme les autres. J’ai commencé dans le marché ultra concurrentiel du dev perso. Alors que tout le monde est obnubilé par le concept de niche, de te lancer dans un petit marché sans compétition.
Et j’ai produit assez peu de vidéos : 77 pour être exact. Là ou la plupart des créateurs qui dépasse les 100.000 abonnés en ont créé 10x plus. Et c’est normal parce que si tu veux faire créer des vidéos qui génèrent du trafic et attirent les gens, alors tu es peut-être tombé sur des personnes qui t’ont donné ce conseil absurde : Publier un maximum.
On voit alors des personnes faire des challenges 30 vidéos en 30 jours. On voit des créateurs de contenus super persévérants qui trouvent une nouvelle idée chaque jour et en font une vidéo. Et ces créateurs ne sont pas récompensés à leur juste valeur.
Ils n’arrivent pas à avoir ce qu’ils voudraient tant : une communauté de fans. Parce qu’ils ont cru au mensonge de la quantité l’emporte sur la qualité. Ils ont cru qu’ils suffisaient d’allumer leur caméra, de retransmettre une idée sans travail de narration, sans trouver un format et un style qui leur est propre.
J’ai cru à ce mensonge et tu l’as peut-être cru. Et c’est parce qu’il y a une grande majorité de gens qui ne prennent pas la peine de soigner leurs vidéos … … qu’il reste encore les meilleures places sur YouTube.
La question, ce n’est pas qui sortira le plus de vidéos … c’est qui sortira les meilleurs. Alors, je te le dis tout de suite, quand je parle de qualité, ça ne servira à rien d’acheter la caméra la plus chère du marché ou de payer une fortune pour que tes montages soient parfaits.
Non. Regarde, un film hollywoodien avec un budget qui se compte en millions et les meilleurs effets spéciaux du monde peut très facilement être le pire film de l’année. Et au contraire, une petite comédie française peut vite devenir ton film favori.
C’est la même chose pour les vidéos YouTube, si tu arrives à comprendre les techniques et les structures de vidéos pour captiver l’attention des gens, alors tu pourras développer une communauté de personnes qui te suivront sur des années.
Et il y a plein de techniques et de méthodes pour faire du bon contenu que les gens ne savent pas et ne font pas. Je te parle de vidéos qui ont le potentiel de devenir virales, d’être partagé en masse et de faire des centaines de milliers de vues. Je regarde aussi des vidéos sur YouTube et je peux compter sur les doigts de mes mains le nombre de créateurs savent vraiment comment créer de bonnes vidéos. Ce que je te propose, c’est de te montrer comment j’ai fait pour faire décoller ma chaîne.
Comment je suis passé de ça à ça ! Et c’est pour ça que je t’ai préparé une formation gratuite sur 5 jours pour réussir sur YouTube. Tu peux télécharger la formation gratuite en cliquant sur le premier lien en description.
Dans cette formation, on va voir quel est le facteur plus important de l’algorithme YouTube. La compétence que tu dois développer pour créer des vidéos captivantes qui vont attirer les gens. Pourquoi tu n’as pas besoin de matériels pour faire de bonnes vidéos et comment moi j’ai fait pour développer une audience de 150.000 personnes sans montrer mon visage. Et enfin sur quel thématique tu devrais te lancer et pourquoi tu fais une erreur si aujourd’hui tu t’es lancé dans un petit marché de niche. Ce que tu souhaites dans ta vie, c’est surement combler tes 4 besoins : c’est à dire faire ce que tu aimes, être payer pour le faire, choisir avec qui tu travailles et être enfin libre.
Et il y a de grandes chances que le meilleur moyen d’y arriver, c’est de prendre la décision de créer ton propre job et développer une audience sur internet. Depuis que j’ai fait ce choix, plus personne ne choisit pour moi ce qui est bon ou pas.
Et surtout pas des gens qui ne veulent pas le meilleur pour moi (comme le boss d’une boite qui a des intérêts divergent) Si toi aussi, tu fais tes propres choix, tu te construiras une vie en accord avec tes besoins.
Et si ce que tu veux, c’est développer une communauté sur YouTube, alors le meilleur moyen, c’est de suivre le plan d’action que je te propose en cliquant sur le lien qui apparaît à l’écran maintenant ou sur le premier lien dans la description de cette vidéo.