Peut-être vous est il déjà arrivé de douter de la vie, de douter de votre réussite, de douter de vos
capacités, de douter d’atteindre un objectif… Peut-être aussi, vous est-il
arrivé de vouloir tout trop vite, de vouloir que ça se réalise immédiatement,
d’être impatient.
En fait, le doute et l’impatience sont les deux tueurs de motivation. Alors, pour réussir quelque chose, sa vie, un objectif professionnel, un objectif familial, un objectif sportif… Il faut absolument tuer ces deux “tueurs” que sont le doute et l’impatience, et savoir s’auto-motiver.
Alors s’auto-motiver, il y a deux étapes :
Prémière étapes
la première étape c’est de mettre son cerveau en mode positif. Vous savez la vie c’est une suite de hauts et de bas, c’est une suite d’événements et ces événements sont parfois agréables où parfois désagréables.
Mais la lecture m’appartient. C’est Epictete, il y a plus de 2000 ans, qui nous dit “ce ne sont pas les événements qui troublent les hommes mais l’idée qu’ils s’en font”. Ce qui veut dire que pour chaque événement j’ai deux lectures.
Les asiatiques nous disent : “aussi fine soit la tranche, elle a toujours deux faces”. Je peux voir le négatif ou je peux voir le positif. Ca m’appartient ! Je peux regarder la menace ou regarder l’opportunité, ça m’appartient ! Je peux avoir une vision pessimiste de l’avenir ou une vision optimiste de l’avenir, ça m’appartient !
Et vous savez que la pensée crée l’émotion, l’émotion crée l’énergie, l’énergie crée l’action, et l’action crée le résultat !
Ce qui veut dire que si je mets une pensée négative, je vais baisser mon énergie, je vais baisser mon action et je ne vais pas atteindre le résultat.
Alors que si je mets une pensée positive, je vais au contraire me mettre en énergie, en action et créer les résultats. Donc il faut savoir switcher sa pensée.
Quand on est sportif on le sait. On à 7 secondes pour switcher d’une pensée négative en une pensée positive, ce qui veut dire c’est un travail important à faire. Déjà se mettre en mode positif, optimisme, opportunités !
La deuxième phase
C’est de se mettre en action car dès que je doute il faut être en action. C’est l’action qui va m’empêcher de cogiter.
Alors quel type d’action peut-on mettre en place ?
La première action c’est déjà de réévaluer ses objectifs. Est ce que l’objectif n’est pas trop haut ? Est-ce qu’il est atteignable ? Est-ce qu’il est spécifique ? Est-ce que je me donne un délai suffisant pour l’atteindre ?
La deuxième action que je peux faire c’est : mais pourquoi au fait je fais les choses ? Quelle est ma mission ? Qu’est-ce qui me pousse à vouloir faire ça ? Est-ce que c’est bien utile après tout ? Est-ce que ça correspond à mon identité ?
Une troisième action peut être aussi d’alimenter toujours mes hormones du bien-être, du bonheur, du plaisir, de la performance… les fameuses “DOSE” : Dopamine Ocytocine Sérotonine Endorphine et pour ça il faut que je me donne du temps, il faut que je médite de temps en temps, il faut que je fasse de l’activité sportive, il faut de l’activité physique, il faut que je dorme bien de façon à ce que mon cerveau s’alimente de ces fameuses hormones.
Et puis, je peux aussi de temps en temps avoir d’autres actions. Il y en a à peu près une dizaine. Pour moi, j’en prends une dizaine au quotidien comme par exemple de créer un cahier des bonnes nouvelles où je vais noter tout ce qui se passe de bien dans la journée plutôt que de regarder toujours les événements noirs, difficiles et compliqués.
Et en fait, petit à petit, je vais enlever l’impatience, je vais lâcher prise et surtout je vais enlever le doute et je vais me repositionner par cette auto- motivation sur la réussite de mon projet, la réussite de mes objectifs.
A très bientôt !